Auteur.e.s
C. Roose-Amsaleg, J. Garnier
Université
UMR Sisyphe UMPC-CNRS
DOI
https://doi.org/10.26047/PIREN.rapp.ann.2007.vol22
Nous avons tenté de détecter les gènes de résistance à la vancomycine et à la teicoplanine directement par PCR sur différents échantillons d’effluents hospitaliers et de station d’épuration (une en amont et une en aval de Paris). Malgré une amplification réussie, elle s’avère multiple et les bandes amplifiées ne correspondent pas à des gènes de résistance à la vancomycine. Ce résultat montre la nonadaptabilité de ce protocole mis au point sur souches pures à des échantillons environnementaux. Nous allons devoir redéfinir des amorces plus spécifiques des gènes que nous ciblons.
celine.amsaleg@ccr.jussieu.fr